L’équipement informatique de votre cabinet est essentiel. Quel est le matériel indispensable pour s’installer ? Quel logiciel métier choisir ?
Un logiciel métier est désormais un outil indispensable pour pouvoir exercer.
Depuis la dernière convention, l’informatique est un indicateur dans le calcul du forfait structure (forfait versé annuellement par l’Assurance Maladie).
Ces critères informatiques sont les suivants :
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L’informatisation d’un cabinet libéral dépend du type d’organisation mise en place. Dans le cas d’un praticien isolé, le choix va être simplifié : le praticien va utiliser les fonctions métier « classiques » de son logiciel. Dans le cas d’un cabinet de groupe mono professionnel ou d’une maison de santé, la nécessité de partager les informations liées à la prise de rendez-vous et au partage de dossiers des patients s’impose rapidement.
Dans le cas d’une maison de santé, un guide a été effectué par l’ASIP santé et est disponible ici.
L’URPS médecins Ile-de-France organise chaque année un colloque sur l’informatisation des cabinets des structures d’exercice collectif.
Enfin, pour une aide a la décision plus approfondie dans vos choix informatiques, n’hésitez pas a nous contacter.
Des « services » sont souvent associés à la livraison du logiciel :
Il est nécessaire de bien choisir un logiciel agréé SESAM-Vitale. Cet agrément garantit la conformité d’un logiciel de construction et de télétransmission de factures électroniques à la version en vigueur du cahier des charges SESAM-Vitale.
>> Listes des logiciels agréés
Des logiciels proposent un accès direct aux téléservices de l’assurance maladie (DMP compatibilité, déclaration MT, avis arrêt de travail etc. ) dans leur interface. Les logiciels ayant satisfait aux tests proposés par l’assurance maladie font l’objet d’un référencement.
La Région peut participer au financement d’équipements de type télécabines santé, mallettes ou chariots de télémédecine et solutions technologiques ou informatiques innovantes. Elle pourra prendre en charge jusqu’à 50% du coût de l’équipement à hauteur de 15.000 euros pour les équipements mobiles et 50.000 euros pour les équipements non mobiles (équipements lourds type télécabine, système d’information…).